ici

A toutes les tornioles que j'ai reçus à l'école par le profs de cp et de cm2 c'etait dans les années début 70

le monde change

Une bonne fessée n'a certainement rien de traumatisant. Seulement, passé un certain âge, je pense qu'elle n'a plus grand effet.

Ce qui a déplu au tribunal, à mon avis, c'est le fait que le père a déculotté l'enfant. Etait-ce justifié ?

Il a eu tort dans le mode opératoire.........j'aurais utilisé la pointure ( 42 ) avec fer au bout

de la semelle pour taquiner son postérieur sur une distance de 50 ou 100 mètres.....a moins

que dans certaines contrées ce soit le contraire( pour être à la mode ) les enfants qui cor-

rigent les parents.....la justice ? ......quelle justice !

Une gifle donnée méchamment et un coup de pied au derrière surtout, c'est beaucoup plus humiliant qu'une fessée. Ou alors sauf si cul nu devant le monde.

Elle a dû être violente la fessée si le petit dit vrai : "C'est le petit garçon qui a donné l'alerte en racontant les faits à sa mère. Il souffrait au point de peiner à s’asseoir. "

Des fessées j'en ai pris pas mal dans ma jeunesse lointaine et des claques aussi pour des raisons diverses, mauvaises notes à l'école, retard de cinq minutes par rapport à ce que m'avait fixé comme horaire de retour ma mère, et la déculottée je connais, les fesses à l'air et le fouet avec plusieurs lanières que je m'ingéniais à couper une par une au fur et à mesure du temps et au final il ne restait plus que le manche, obligé d'en racheter un autre, mais le temps d'en trouver un autre j'étais peinard pour quelques jours, mais je ne suis pas mort pour autant et jamais il ne me serait venu à l'idée de porter plainte, changement de société sans doutes ou de moeurs.

Je ne parle pas des coups de règle sur les doigts distribiués " gratuitement et généreusement " par les instits de l'époque, et toujours sur la main droite, m'en foutait je suis gaucher alors . . . !

Une fessée qui "part", sans avoir été calculée, est sûrement une réponse efficace à une insulte ou une impolitesse.

Prendre le temps de baisser le pantalon du gamin, c'est de la préméditation et je trouve que ç'a un côté malsain.

Une fessée ne sert pas à faire mal, juste à remettre les idées en place. Non ?

gé42000 a écrit :et jamais il ne me serait venu à l'idée de porter plainte,

Evidemment c'était une autre époque et ça ne se faisait pas de porter plainte donc l'enfant ne pouvait pas y penser.

C'était un temps où les adultes avaient tous les droits sur l'enfant et l'enfant sous prétexte que nourri, logé, blanchi alors que c'était pourtant la moindre des choses vu que c'est pas lui qui a demandé à venir au monde, n'avait que le droit de la fermer et de subir, devait se plier à l'autorité de l'adulte quel qu'il soit même quand il y avait de sérieux abus, injustices, choses pas normales, etc.

Dans tous les cas il avait de toute façon toujours tort pour tous les adultes. Même quand le père en arrivait à tuer l'enfant à coups de violentes raclées quotidiennes, le voisinage trouvait encore à dire que le môme l'avait bien mérité, qu'il n'avait qu'à écouter. Autrefois c'était à l'autre extrémité.

Pas trop ok pour la fessée déculotté,non "mesurée", sur les vêtements, ça cuit tout autant ! Comme le souligne Perlerarissime, avant c'était trop, aujourd'hui c'est trop peu.

Des raclées, on en a pris, parfois pour des peccadilles, je rejoins gé42000 dans son analyse, mais elles n'ont jamais étées suffisamment violentes pour m'empêcher de m'assoir

Une petite fessée à tout âge puis un peu de talque après pour adoucir la peau des fesses, çà ne mérite tout de même pas un procès.

Quelques une aussi méritées, je pense. Cela ne m'a pas traumatisé.

Ce sont les parents ou les juges qui élèvent les enfants ? s'il y a maltraitance c'est autre chose.

Lorsque l'état s'occupe de tout c'est une dictature aussi ai-je fait mon choix.

Bonne soirée

Si les parents sont en instance de divorce on peut penser que la mère a voulu rajouter une louche pour que le mari n'ait pas la garde de leur fils.

je suis d'accord avec le dernier post, la mère a dû en rajouter et elle doit jubiler à l'heure qu'il est

Surtout qu'il est facile de dire à un enfant comment il "doit" relater un fait...

D'autant plus s'il est menacé par la mère de recevoir une fesssée carabinée pour de vrai ou bien pire ou de pas avoir tel jouet s'il ne le dit pas haut et fort en insistant bien sur le fait d'avoir du mal à s'asseoir.

Avant, après.

Sans commentaires.