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Posté le 01/02/2011 @ 13:25 |
| ici on poste les dictons poemes et textes à réflexion
Tous les dictons poemes ou textes sont trouvés sur internet - si l'un deux vous appartient merci de me prévenir - je ferai le nécessaire aussitôt - des textes dont l'auteur est inconnu si vous en connaissez le propriétaire merci de me le faire savoir
Aujourd'hui nous déplorons le décès d'un ami très cher qui se nommait "Bon Sens" et qui a vécu parmi nous depuis de longues années.
Personne ne connaît exactement son âge, car les registres de naissances ont été perdus il y a bien longtemps dans les méandres de la bureaucratie.
On se souvient de lui pour des leçons de vie, comme "La journée appartient à celui qui se lève tôt ", "Il ne faut pas tout attendre des autres" et "Ce qui arrive est peut-être de MA faute".
" Bon Sens " vivait avec des règles simples et pratiques, comme "Ne pas dépenser plus que ce que l'on a", et des principes éducatifs clairs, comme "Ce sont les parents, et non les enfants, qui décident ".
" Bon Sens " a perdu pied quand des parents ont attaqué des professeurs pour avoir fait leur travail en voulant apprendre aux enfants les bonnes manières et le respect. Un enseignant renvoyé, pour avoir réprimandé un élève trop excité, a encore aggravé l'état de santé de " Bon Sens ".
Il s' est encore plus détérioré quand les écoles ont dû demander et obtenir une autorisation parentale pour mettre un pansement sur le petit bobo d' un élève, sans pouvoir informer les parents de dangers bien plus graves encourus par l'enfant.
" Bon Sens " a perdu la volonté de survivre quand des criminels recevaient un meilleur traitement que leurs victimes. Il a encore pris des coups quand cela devint répréhensible de se défendre contre un voleur dans sa propre maison et que le voleur pouvait porter plainte pour agression.
" Bon Sens " a définitivement perdu sa foi quand une femme qui n' avait pas réalisé qu'une tasse de café bouillante était chaude, en a renversé une petite goutte sur sa jambe, et pour cela a perçu une indemnisation colossale.
La mort de " Bon Sens " a été précédée par celle de ses parents : Vérité et Confiance, de celle de sa femme Discrétion, de celle de sa fille Responsabilité ainsi que de celle de son fils Raison.
Il laisse toute la place à ses trois faux-frères: "Je connais mes droits", "C'est la faute de l'Autre" et "Je suis une victime".
Il n' y avait pas foule à son enterrement car il n' y a plus beaucoup de personnes pour se rendre compte qu'il est parti. Si vous vous souvenez de lui, faites circuler cette lettre, sinon ne faites rien!
Auteur inconnu
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Posté le 02/02/2011 à 13:23 |
| Et si cet instant était le tien ... un moment qui t'est propre, particulier, qui t'a été prédit et promis parmi tous les instants. Louise Bogan (1897 1970 ) |
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Posté le 03/02/2011 à 11:15 |
| Ne pas chercher à être quelqu'un d'autre, nous permet d'être, là où nous sommes.Libérés de la necessité de nous fatiguer les yeux, ne rêvant plus d'un autre monde, nous sommes libres de découvrir celui qui nous entoure . Michael Adam " A la gloire des femmes" |
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Posté le 04/02/2011 à 21:48 |
| Un vieil homme a dit : les soucis des hommes et leur préoccupation des choses du corps détruisent nos facultés de connaissance et d'expression et nous laissent comme un morceau de bois mort. Palladios (vers 363 431) Histoire Lausiaque |
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Posté le 07/02/2011 à 16:29 |
| vous pouvez poster si le coeur vous en dit
Tu me demandes pourquoi j'ai élu domicile dans les bois sur la montagne, et je souris, et je me tais, et même mon âme fait silence. Elle vit dans cet autre monde qui n'appartient à personne ; Le pêcher est en fleurs, la rivière coule.
Li Po (701 762) |
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Posté le 10/02/2011 à 13:55 |
| à lire
Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs, Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille, Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants, Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête, Nous nous croirons encor de jeunes amoureux, Et je te sourirai tout en branlant la tête, Et nous ferons un couple adorable de vieux ; Nous nous regarderons, assis sous notre treille, Avec de petits yeux attendris et brillants, Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs.
Sur le banc familier, tout verdâtre de mousse, Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer ; Nous aurons une joie attendrie et très douce, La phrase finissant souvent par un baiser. Combien de fois jadis j'ai pu dire : « Je t'aime ! » Alors, avec grand soin, nous le recompterons ; Nous nous ressouviendrons de mille choses, même De petits riens exquis dont nous radoterons. Un rayon descendra, d'une caresse douce, Parmi nos cheveux blancs, tout rose, se poser, Quand, sur notre vieux banc tout verdâtre de mousse, Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer.
Et, comme chaque jour je t'aime davantage - Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain -, Qu'importeront alors les rides du visage, Si les mêmes rosiers parfument le chemin. Songe à tous les printemps qui dans nos coeurs s'entassent, Mes souvenirs à moi seront aussi les tiens, Ces communs souvenirs toujours plus nous enlacent Et sans cesse entre nous tissent d'autres liens ; C'est vrai, nous serons vieux, très vieux, faiblis par l'âge. Mais plus fort chaque jour je serrerai ta main, Car, vois-tu, chaque jour je t'aime davantage : Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain !
Et de ce cher amour qui passe comme un rêve Je veux tout conserver dans le fond de mon coeur, Retenir, s'il se peut, I'impression trop brève, Pour la ressavourer plus tard avec lenteur ; J'enferme ce qui vient de lui comme un avare, Thésaurisant avec ardeur pour mes vieux jours ; Je serai riche alors d'une tristesse rare, J'aurai gardé tout l'or de mes jeunes amours ; Ainsi, de ce passé de bonheur qui s'achève, Ma mémoire parfois me rendra la douceur, Et de ce cher amour qui passe comme un rêve J'aurai tout conservé dans le fond de mon coeur.
Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs, Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille, Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants. Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête, Nous nous croirons encore aux heureux jours d'antant, Et je te sourirai tout en branlant la tête, Et tu me parleras d'amour en chevrotant ; Nous nous regarderons, assis sous notre treille, Avec des yeux remplis des pleurs de nos vingt ans... Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs !
Rosemonde Gérard
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Posté le 10/02/2011 à 16:46 |
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L'humour de l'amour
L'amour est une chose fragile, ondoyante et diverse, délicieusement mystérieuse aussi et heureusement pleine de caprices. Le mot a des allures de velours doux mais la réalité qu'il exprime, si idyllique soit-elle dans l'âme des midinettes qui en rêvent, reste un piège auquel bien peu de gens échappent.
L'amour est tantôt grave, tantôt joyeux. Sa gravité mène souvent à la jalousie, qui en est la grimace hideuse, tandis que sa gaieté a fait éclore des sourires heureux sur les lèvres toujours avides de l'humanité. C'est cette gaieté qui définit le mieux l'amour. C'est tellement vrai, et, parce que vrai, tellement profond, que je ne suis pas loin de croire, tout profane que je sois en la matière, que le seul salut de l'amour, c'est l'humour.
Prendre légèrement les choses sérieuses et sérieusement les choses légères n'est pas une maxime de débauché, c'est une perle de sagesse. Ceux qui ne savent pas rire, je ne dis pas « de l'amour » mais « avec » lui risquent de perdre tout le miel qu'il contient.
Je pense à tous les jolis mots dont la littérature de l'amour est pleine et qui font la joie de ceux qui l'aiment vraiment, qui le font sans vergogne et qui en gardent, précieusement accroché au mur de leur mémoire, le souvenir toujours plein de poésie. Le cher Verlaine disait que « les souvenirs d'amour sont les clairs de lune de nos solitudes ». Il avait raison : « Quand on a aimé quelqu'un, on n'est plus jamais seul, car on peut toujours donner rendez-vous à son souvenir. L'instant passe mais le souvenir, lui reste... éternel. »
Et quand parfois l'amour pleure, c'est toujours l'humour qui vient essuyer ses larmes. C'est pourquoi il faut savoir rire un peu de soi-même quand on est amoureux... pour ne pas avoir à pleurer de l'avoir mal été. Et puis en jouir gentiment aussi : c'est un commandement de la vie. Car, comme dit le poète : « On a si peu de temps à s'aimer sur la terre qu'il faut bien se hâter de dépenser son cœur. »
Doris Lussier — Tiré de son livre Tout Doris / Texte trouvé sur le site Au jardin de l’amitié
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« L'amour sans l'humour, c'est un repas sans sel. »
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Posté le 11/02/2011 à 10:14 |
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« La vie n’est qu’un banc d’essai, une expérience. Sinon on aurait tous un manuel d’instructions qui nous dirait où aller et comment faire. »
Chaque fois que je pense à cette phrase, elle me rappelle de ne pas prendre la vie trop au sérieux.
Quand on imagine la vie et ses défis comme un banc d’essai, ou une série d’expériences, on s’aperçoit que chaque obstacle constitue une occasion d’avancer et de mieux se connaître.
Que l’on croule sous les problèmes ou les responsabilités, que l’on se trouve devant un obstacle qui paraît insurmontable, quand on voit la vie comme un test, on a forcément toujours une chance de gagner.
Si, au contraire, on perçoit chaque nouveau défi comme une lutte à finir, on s’expose à bien des stress inutiles. On ne doit pas attendre pour être heureux que tout aille pour le mieux dans le meilleur des mondes. Les conditions idéales au bonheur n’arrivent que trop rarement.
Faites-en l’expérience en appliquant le principe du banc d’essai à un problème que vous devez surmonter, un patron difficile ou une relation compliquée, par exemple. Et voyez comment vous pouvez revoir la situation, non sous l’angle d’un problème, mais d’un essai. Qu’avez-vous à perdre ? Ainsi, au lieu de vous battre contre ce problème, essayez de voir s’il peut vous enseigner quelque chose.
Demandez-vous : « Pourquoi ce défi dans ma vie ? Que signifie-t-il et que m’en coûtera-t-il de l’affronter ? Est-ce que je pourrais envisager ce problème d’une autre façon ? Est-ce que je peux le voir comme une sorte d’essai ou d’expérience ? »
En optant pour l’essai, vous serez étonné de constater que les solutions ont changé. Si par exemple, vous êtes frustré parce que vous manquez de temps dans une journée et que vous courez pour arriver à tout faire, vous en rejetez le blâme sur votre horaire, vos responsabilités, les circonstances, ou toute autre raison.
En choisissant de voir ce problème comme un bout d’essai, vous pourriez réaliser que pour vous sentir mieux, il n’est pas nécessaire d’organiser votre vie afin d'avoir plus de temps mais plutôt pour arriver à être satisfait de vous, même si vous n’avez pas tout accompli. En d'autres termes, le vrai défi est de voir votre problème comme un bout d’essai.
Au fil des essais et des expériences, vous apprendrez à affronter vos plus grandes frustrations. Et surtout, vous arriverez plus facilement à accepter les choses comme elles sont au lieu de toujours les combattre.
– Dr Richard Carlson
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Posté le 14/02/2011 à 10:24 |
| Les oiseaux ont quitté le ciel. Maintenant les derniers nuages disparaissent. Nous sommes seuls, la montagne et moi, jusqu'à ce qu'il ne reste que la montagne . Li Po (701 - 762 ) |
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Posté le 14/02/2011 à 10:39 |
| bon saint valentin à toutes et tous
belle chanson
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Posté le 16/02/2011 à 15:40 |
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Chaque jour, nous vivons des dizaines de petits bonheurs qu’on ne voit ni ne réalise souvent même pas. Pourtant, le bonheur est avant tout une somme de petits bonheurs… C’est ainsi qu’on court après le bonheur sans même voir tous les petits bonheurs qui nous arrivent chaque jour ! Résultat : on court encore et toujours après le bonheur et on se plaint qu’on n’est pas heureux ! Mais si vous regardez chaque jour chaque moment que vous vivez, vous réaliserez ces petits bonheurs… et plus vous les réaliserez, plus vous vous sentirez heureux. Simpliste, vous trouvez ? Essayez donc ! Je vous donne ici des exemples, à vous de les voir, de les réaliser, de les savourer… et d’en trouver beaucoup d’autres dans le même style !
En fait, les petits bonheurs passent surtout par nos cinq sens, des sens qui nous ramènent automatiquement à notre coeur si on s'y arrête juste quelques secondes :
La vue : le plaisir de voir quelque chose de beau, comme le sourire de la caissière au supermarché, un bon film à la TV ou au cinéma, un bon livre et le temps de le lire, un magnifique coucher du soleil ou une fleur qui s’ouvre...
Le toucher : la douceur de la peau de bébé ou de notre conjoint(e), une bonne douche chaude et réconfortante ou un bon bain, le vent sur notre visage, le bisou de son enfant ou de son conjoint...
Le goût : un bon repas, le goût d'un fruit mûr à point, d'un dessert qu'on aime mais qu'on mange rarement...
L'ouïe : le téléphone d’un(e) ami(e), une belle chanson ou musique qui passe à la radio, le chant des oiseaux, le bruit de la rivière...
Les odeurs : l'odeur de café ou du chocolat chaud, l'odeur du gazon mouillé ou de la nature pendant une promenade en forêt...
Et des dizaines d'autres petits bonheurs qui touchent notre coeur, tout simplement :
- La voisine qui vous apporte un pot de confiture - Une soirée entre amis - Une promenade dans le calme - Un moment seul où on n’a rien à faire d’autre que savourer ce moment - Un «Merci !» de son patron, ou même un petit compliment - Un retour d’impôts qu’on n’attendait pas - Une invitation - La réussite d’une activité difficile - Une pensée d’Amour pour quelqu’un… - Une surprise… car les petits bonheurs sont souvent simplement surprenants, surtout quand on n’a pas l’habitude de les voir !
A vous de jouer maintenant ! Je vous souhaite beaucoup de petits bonheurs !
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Posté le 17/02/2011 à 13:03 |
| le besoin d'avoir toujours raison
La communication
Entre Ce que je pense, Ce que je veux dire, Ce que je crois dire, Ce que je dis, Ce que vous avez envie d'entendre, Ce que vous croyez entendre, Ce que vous entendez, Ce que vous avez envie de comprendre, Ce que vous comprenez, Il y a dix possibilités qu'on ait des difficultés à communiquer.
Mais essayons quand même...
Cliquez ici : La communication - La petite douceur du coeur
Modifié par simplifier le 17/02/2011 13:03 |
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Posté le 18/02/2011 à 16:13 |
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Socrate était un philosophe grec réputé pour sa sagesse. Un jour qu'il se promenait sur l'agora, il fut abordé par un quidam qui l'interpella ainsi :
- Socrate ! Tu sais ce que je viens juste d'apprendre à propos d'un de tes élèves ?
- Attention" lui dit Socrate, avant de dire quoi que ce soit, il faut que tu passes un certain test. Je l'appelle le test du triple filtre...
- Triple filtre ?
- Oui. Avant que tu ne me parles d'un de mes élèves, ce serait bien que tu filtres ce que tu vas dire ... Le premier filtre est le filtre VÉRITÉ. Es-tu absolument certain que ce que tu vas me dire est vrai ?
- Euh ... C'est à dire ... Non. Je l'ai juste entendu dire ...
- Bien, tu n'es donc pas certain que ce que tu vas dire est la vérité. Le second filtre est la BONTÉ. Ce que tu as à me dire est-il bon pour mon élève ?
- Ben ... pas exactement ...
- Donc, tu veux me dire quelque chose de désagréable pour mon élève sans être sûr que ce soit vrai. Essayons le troisième filtre, si tu veux bien. Il s'agit du filtre de l'UTILITÉ. Ce que tu veux me dire est-il utile pour moi ?
- C'est difficile à dire, plutôt non, en réalité ...
- Tu m'accorderas donc que tu souhaites me confier quelque chose de désagréable sur mon élève, qui ne me sera d'aucune utilité et dont tu n'es pas sûr. Ne crois-tu pas qu'il vaut mieux, dans ce cas, te taire?
- Oui, Socrate, je vois bien que tu as raison. Je me tairai donc...
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Posté le 18/02/2011 à 16:37 |
Astucien
| Simplifier
Intéressant ce passage ("triple filtre").
Pour les petits bonheurs du quotidien (post plus haut), tu devrais lire Delerm (pas le fils, le papa ...)
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Posté le 18/02/2011 à 16:51 |
| lenino d'être passé me voir - à lire et relire le filtre de socrate j'ai bien envie de l'adresser à certains femmes ou hommes politique ou à d'autres bien sûr mais la liste est trop longue |
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Posté le 18/02/2011 à 18:32 |
Astucien
| Oui, je regarde de temps en temps ce que tu publies ici...
Ce post fait son petit bonhomme de chemin, silencieusement, sans rien demander à personne: sympa... |
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Posté le 19/02/2011 à 13:13 |
| merci bonne journée à toutes et tous
Apprendre à dominer les difficultés
« L'épreuve ne tourne jamais vers nous le visage que nous attendions », écrivait Mauriac. « Elle est nécessaire à la connaissance de soi », ajoute Sénèque.
Force est de constater qu'il faut parfois beaucoup de sang-froid et de résistance morale et physique pour faire face aux difficultés que la vie met sur notre chemin.
Un échec professionnel, une rupture amoureuse, des soucis d'argent, un contretemps qui survient au plus mauvais moment... nos existences sont jalonnées de difficultés, de rendez-vous manqués, d'imprévus, d'échecs, d'où la nécessité d'apprendre à relativiser tout ce qui nous arrive malgré nous, et notamment le mauvais. Ou du moins ce que nous percevons comme étant mauvais.
Car il y a toujours une leçon à tirer d'une difficulté. Et la façon même dont nous l'appréhendons peut être à elle seule un enseignement.
L'une des clés pour faire face aux difficultés est non de les combattre et les prendre de front, mais de les contourner en cherchant leur aspect positif. Dans l'adversité, l'état d'esprit fait tout.
– Source : Le livre de la sérénité - Catherine Rambert, p. 155
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« L'épreuve est nécessaire à la connaissance de soi. C'est l'expérience qui nous fait prendre la mesure de nos propres forces. » Sénèque
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Posté le 21/02/2011 à 16:24 |
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Le grillon
Le grillon
Un Amérindien et son ami, en visite au centre-ville de New York, marchaient dans Manhattan. C'était l'heure du lunch et les rues étaient très achalandées. Les autos klaxonnaient de plus belle, les taxis faisaient crisser leurs pneus sur les coins de rue et les bruits de la ville rendaient presque sourd. Soudain, l'Amérindien dit : « J'entends un grillon. »
Son ami répondit : « Quoi? Tu dois être fou. Tu ne pourrais jamais entendre un grillon au milieu de tout ce vacarme!
— Non, j'en suis sûr, dit l'Amérindien, j'entends vraiment un grillon.
— C'est insensé », dit l'ami.
L'Amérindien écouta attentivement puis traversa la rue jusqu'à un petit boisé perdu au cœur de toutes ces plateformes en ciment où poussaient quelques arbustes. Il regarda à l'intérieur des arbustes, sous les branches et avec assurance, il localisa un petit grillon. Son ami était complètement stupéfait.
« C'est incroyable, dit son ami, tu dois avoir une ouïe spéciale.
— Non, répondit l'Amérindien, mes oreilles ne sont pas différentes des tiennes. Tout ça dépend de ce que tu cherches à entendre.
— Mais ça ne se peut pas! dit l'ami. Je ne pourrais jamais entendre un grillon dans ce bruit.
— Oui, c'est vrai, répliqua l'Amérindien, ça dépend de ce qui est vraiment important pour toi. Tiens, laisse-moi te le démontrer. »
Il fouilla dans sa poche, en retira quelques pièces de monnaie et discrètement les jeta sur le trottoir. Et alors, malgré le fracas de la rue bondée de monde, ils remarquèrent que toutes les têtes, jusqu'à une distance de sept mètres d'eux, se tournaient et regardaient pour voir si la monnaie qui tintait sur la chaussée était la leur.
« Tu vois ce que je veux dire? demanda l'Amérindien. Tout dépend de ce qui revêt de l’importance pour toi. »
Source : Petites douceurs pour le coeur, Éditions Un monde différent, Nicole Charest, p. 120
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En 2011, sur quoi porterez-vous votre attention?
Sur les qualités des gens ou sur ce qui vous irrite chez eux ? Sur vos chances de succès ou sur les risques d'échec ? Sur ce que vous faites de bien ou sur ce que vous ne maîtrisez pas ? Sur ce que vous avez ou sur ce qui vous manque ? Etc., etc., etc.
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Posté le 23/02/2011 à 11:08 |
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Le jeune Diogène voulait devenir philosophe.
Pourquoi?
Pour avoir un esprit clair et une grande indépendance d'idée.
Mais atteindre cette tranquillité d'âme demande des efforts et du temps libre.
Ainsi, Diogène commença donc par prendre un esclave pour ne plus avoir à se consacrer au nettoyage des sols et aux tâches les plus ingrates.
Il paya également un cuisiner pour ne plus avoir à confectionner lui-même ses repas.
Il embaucha un sophiste pour écrire ses discours et engagea un rhéteur pour les prononcer à sa place sur l'Agora.
Un comptable gérait ses biens et un intendant s'occupait de sa maison.
Il s'entoura tant et si bien qu'il finit par obtenir le contraire de ce qu'il avait espéré: l'esclave devait sans cesse être rappelé à l'ordre, le cuisinier le dérangeait pour connaître ses préférences, le sophiste, le rhéteur et le comptable l'assaillaient de questions.
Accaparé par autant de soucis, incapable de consacrer une heure à la philosophie, Diogène se rendit chez son ancien Maître.
«Comment vivre simplement? La vie matérielle exige trop de temps» se plaint-il.
Et le maître de répondre : «Observe la souris qui voyage sans bagages et mange quand elle a faim; regarde ce petit enfant qui boit à la fontaine dans le creux de sa main; prend exemple sur le chien qui se réchauffe au soleil. Ont-ils, selon toi, moins que le nécessaire? S'ils possédaient la pensée, n'auraient-ils pas tout le temps de s'y consacrer?»
Diogène remercia son maître et congédia sur le champ tous ses employés. Il quitta sa maison et vécut le reste de sa vie en plein air.
Et lorsque les passants se riaient de son dénuement, il leur répondait:
«Dépouillés de tout, dites-vous que la vraie grandeur est en nous tout nus; les biens nous ont été prêtés: soyons heureux de les rendre.»
* * *
Avons-nous vraiment besoin de tout ce que nous possédons ? Serions-nous moins heureux si nous possédions moins ?
Souvent, avec les richesses, nous accumulons des soucis dont nous nous serions passés. On entend souvent dire : «Le temps c'est de l'argent» et c'est vrai: l'argent grignote notre temps, il exige beaucoup de soins et trop d'attention !
* * *
« La pauvreté désire peu, le luxe beaucoup, l'avarice tout. » Abraham Cowley
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Posté le 23/02/2011 à 23:06 |
Petit astucien
| simplifier a écrit :
lenino d'être passé me voir - à lire et relire le filtre de socrate j'ai bien envie de l'adresser à certains femmes ou hommes politique ou à d'autres bien sûr mais la liste est trop longue
Bonjour simplifier
Sur un sujet comme le tien j'ai, en son temps, dit ce que je pensais pour en débattre des ''vérités'' présentées, en particulier du ''Filtre de Socrate'' (là c'était non un filtre mais une passoire et pas un èlève mais un ami)... Je ne recommencerai pas car cela (débât pas l'interêt du sujet) n'interesse qu'un très petit nombre d'Astuciens... |
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Posté le 24/02/2011 à 10:52 |
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Bonjour simplifier
Sur un sujet comme le tien j'ai, en son temps, dit ce que je pensais pour en débattre des ''vérités'' présentées, en particulier du ''Filtre de Socrate'' (là c'était non un filtre mais une passoire et pas un èlève mais un ami)... Je ne recommencerai pas car cela (débât pas l'interêt du sujet) n'interesse qu'un très petit nombre d'Astuciens...
merci glcsm pour les commentaires |
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Posté le 24/02/2011 à 11:01 |
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Le rayonnement de la pensée
Chaque hypothèse ou attente négative que nous élaborons à propos d'un autre être humain est une sorte de prière qui émane de nous; elle contribue à créer cette réalité chez la personne en question.
Rappelez-vous : nos esprits créent des liens, nos pensées et nos attentes rayonnent autour de nous et incitent d'autres personnes à penser de la même façon que nous.
On pourrait compléter cette règle en ces termes :
Faites aux autres ce que vous aimeriez qu'ils vous fassent, parce que la façon dont vous les traitez ou dont vous pensez à eux reflètent exactement la façon dont ils vous traiteront. La prière qu'envoie votre sentiment ou votre action tend à provoquer chez eux exactement ce à quoi vous vous attendez.
Souvenez-vous que chez nous, les êtres humains, les attitudes et les humeurs se communiquent. Tout cela est très contagieux.
Source : Le Secret de Shambala - James Redfield
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Mon enfance a été bercée par cette phrase : « Ne fais pas aux autres ce que tu ne veux pas qu’ils te fassent. » Toute jeune que j’étais, je ne réalisais pas alors que ce conseil était d’abord et avant tout bénéfique pour moi.
En semant le bien autour de moi, en évitant de blesser autrui, c’est ma propre vie qui en bénéficie et c’est mon propre bonheur que j’assure.
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Posté le 25/02/2011 à 15:00 |
| L'arbre magique
"Un voyageur très fatigué s'assit à l'ombre d'un arbre sans se douter qu'il venait de trouver un arbre magique, "l'Arbre à Réaliser des Souhaits".
Assis sur la terre dure, il pensa qu'il serait bien agréable de se retrouver dans un lit moelleux. Aussitôt, ce lit apparut à côté de lui.
Étonné, l'homme s'y installa en disant que le comble du bonheur serait atteint si une jeune fille venait masser ses jambes percluses. La jeune fille apparut et le massa très agréablement.
« J'ai faim, se dit l'homme, et manger en ce moment serait à coup sûr un délice. » Une table surgit, chargée de nourritures succulentes.
L'homme se régala. Il mangea et il but. La tête lui tournait un peu. Ses paupières, sous l'action du vin et de la fatigue, s'abaissaient. Il se laissa aller de tout son long sur le lit, en pensant encore aux merveilleux évènements de cette journée extraordinaire.
« Je vais dormir une heure ou deux, se dit-il. Le pire serait qu'un tigre passe par ici pendant que je dors. »
Un tigre surgit aussitot et le dévora."
Vous avez en vous un Arbre à souhait qui attend vos ordres.
Mais attention, il peut aussi réaliser vos pensées négatives et vos peurs. En tout cas, il peut être parasité par elles et se bloquer. C'est le mécanisme des soucis.
.................................................................
"L'archer est un modèle pour le sage. Quand il a manqué le milieu de la cible, il en cherche la cause en lui-même." Confucius
"Adoptez la devise du cadran solaire : je ne marque que les heures ensoleillées." O.S. Marden
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Posté le 27/02/2011 à 13:42 |
| bon dimanche
A simplement regarder les insectes, les fourmis, les abeilles, tous ces animaux innocents, j'éprouve très souvent une forme de respect pour eux. Pourquoi ? Parce qu'ils n'ont aucune religion, aucune constitution, aucune police, rien. Mais ils vivent en harmonie dans la loi de l'existence, la loi de la nature.
Le Dalaï Lama
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Posté le 27/02/2011 à 17:50 |
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Merci pour toutes ces lectures |
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Posté le 27/02/2011 à 17:55 |
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Venin des femmes scorpion
Dans le coeur des femmes scorpion c 'est des éclats de grandes passions roulés par d 'etranges rêves vagabonds courand d air froid page noire profond dans leur coquille carapace nacrée c est des secrets mystère cachés courant chaud mes pages en flamme dans l'ame refrain de destin j ai une arme le terrible venin accrochée à votre peau le dard courant d' amour c est trop tard dans ta peau blanche une flèche tendre ou souvenirs s 'effacent à la chaîne empoisonnés il faut alors te rendre courant sanguin sensation s 'enchaine péneérer dans cette peau de poete j ai juste piqué avant de saisir vous servir mes elexirs de plaisir attention la femme scorpion guette mdr
Modifié par branche de houx le 27/02/2011 17:57 |
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Posté le 28/02/2011 à 10:32 |
| merci branche de houx d'être passée par là bonne journée à toutes et tous |
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Posté le 28/02/2011 à 11:00 |
| La leçon des hérissons
Une nuit d’hiver, une famille de hérissons n'arriva pas à dormir, tant le froid était vif. Ils décidèrent donc de se serrer les uns contre les autres pour se réchauffer. Mais ils avaient oublié leurs piquants.
Chaque fois qu’ils tentaient de se rapprocher, ils finissaient par se piquer douloureusement.
Jamais le groupe ne parvint à rester uni. Certains tentèrent de se rapprocher à nouveau, mais chaque fois, ils se piquèrent le museau.
Pourtant, il fallait absolument trouver comment se rapprocher : les oiseaux y arrivaient, les lapins, les taupes, tous les animaux aussi. Enfin, ils comprirent.
Et tout doucement, petit à petit, soir après soir, ils s’approchèrent les uns des autres en rétractant leurs piquants.
C’est ainsi qu'avec mille et une précautions, ils trouvèrent la bonne distance pour dormir heureux et au chaud.
– D'après la parabole de Schopenhauerf (trouvé sur le site Éveilleurs d'idées) |
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Posté le 01/03/2011 à 14:03 |
| Le plus riche est celui qui se contente de très peu ; car le contentement est la richesse de la nature. Socrate ( VERS 469-399 AV J ) |
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Posté le 02/03/2011 à 09:58 |
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Il y a de cela plusieurs années, un père punit sa fillette de 3 ans pour avoir inutilement dépensé un rouleau de papier doré.
L'argent se faisait rare et il ne put supporter que la fillette utilisa le papier pour décorer une boite à cadeau pour occuper le dessous de l'arbre de Noël.
Le lendemain matin, la petite enfant apporta le cadeau à son père en lui disant :
- C'est pour toi Papa.
Embarrassé, son père regretta sa trop vive réaction. Toutefois, elle se raviva et ne fit qu'empirer quand il découvrit que la boite était vide. Il cria alors à sa fille :
- Ne sais-tu pas qu'en offrant un paquet-cadeau, il doit toujours y avoir quelque chose dans la boite ?
La fillette regarda son père les yeux pleins d'eau et lui dit:
- Mais papa, la boite n'est pas vide, je l'ai remplie de baisers, juste pour toi!!
Le père était chaviré. Il enlaça sa fille, la priant de lui pardonner sa réaction. Peu de temps après, un accident vint faucher la fillette. Le père garda longtemps la boite, tout près de son lit. A chaque fois que le découragement l'assaillait, il prenait la boite, en tirait un baiser imaginaire et se rappelait l'amour que l'enfant y avait mis.
Au fond, cette fable nous rappelle qu'il est donné à chacun de nous, comme humain, de disposer d'une telle boite dorée, remplie d'amour inconditionnel et de baisers de nos enfants, de nos ami(e)s, de notre famille ou de Dieu. Existe-t-il de plus grands cadeaux ?
Auteur inconnu
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Posté le 02/03/2011 à 10:04 |
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Le pot de fer proposa Au pot de terre un voyage. Celui-ci s'en excusa, Disant qu'il ferait que sage De garder le coin du feu, Car il lui fallait si peu, Si peu, que la moindre chose De son débris serait cause : Il n'en reviendrait morceau. "Pour vous, dit-il, dont la peau Est plus dure que la mienne, Je ne vois rien qui vous tienne. -Nous vous mettrons à couvert, Repartit le pot de fer : Si quelque matière dure Vous menace d'aventure, Entre deux je passerai, Et du coup vous sauverai." Cette offre le persuade. Pot de fer son camarade Se met droit à ses côtés. Mes gens s'en vont à trois pieds, Clopin-clopant comme ils peuvent, L'un contre l'autre jetés Au moindre hoquet qu'ils treuvent. Le pot de terre en souffre; il n'eut pas fait cent pas Que par son compagnon il fut mis en éclats, Sans qu'il eût lieu de se plaindre .
Ne nous associons qu'avecque nos égaux, Ou bien il nous faudra craindre Le destin d'un de ces pots .
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Posté le 02/03/2011 à 12:26 |
| merci branche de houx d'être passée par là |
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Posté le 03/03/2011 à 13:58 |
| trouvé sur le site
Tout fini et recommence toujours.
Pour n’avoir pas de regrets dans la vie, car le regret et l’amertume sont
les seules choses intolérables.
Il faut s’élancer toujours vers le progrès et vers les jours à venir.
Il faut toujours apprendre, toujours faire quelque chose de plus, toujours
enrichir sa vie.
Et puisque chaque tournant de route nous enlève quelque chose qu’il
faut laisser derrière nous, il faut que chaque nouveau bout de route
nous apprenne, nous transforme, augmente nos raisons de vivre,
de croire, d’espérer.
Marguerite Champedal |
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Posté le 04/03/2011 à 16:21 |
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L’altruisme
L’altruisme est prôné dans bien des religions et des philosophies.
Dans le bouddhisme, il est essentiel.
L’altruisme est une bienveillance inconditionnelle. Quand il rencontre la souffrance, cette bienveillance devient de la compassion ou le souhait que les êtres soient libérés de la souffrance. Or, la considération des causes de la souffrance permet cette libération.
Pour le bouddhisme, ces causes ne sont pas seulement les douleurs physiques ou mentales, mais aussi les pensées de haine, de cruauté, l’arrogance, l’obsession, l’envie qui se répercutent par des paroles et des actes qui font souffrir les autres.
Elles sont aussi, plus fondamentalement, l’ignorance, l’inadéquation à la réalité.
Donc la compassion engendre le souhait de délivrer les êtres de la souffrance profonde et la reconnaissance que la chose est possible.
Si on croit la cause perdue, on est face à de la pitié et non à la compassion.
Matthieu Ricard.
L’altruisme serait bien plus qu’une qualité morale, il serait une des voies du bonheur sur terre !
Livre à lire : Chemins spirituels Matthieu Ricard. |
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Posté le 05/03/2011 à 10:34 |
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« La vie n’est qu’un banc d’essai, une expérience. Sinon on aurait tous un manuel d’instructions qui nous dirait où aller et comment faire. »
Chaque fois que je pense à cette phrase, elle me rappelle de ne pas prendre la vie trop au sérieux.
Quand on imagine la vie et ses défis comme un banc d’essai, ou une série d’expériences, on s’aperçoit que chaque obstacle constitue une occasion d’avancer et de mieux se connaître.
Que l’on croule sous les problèmes ou les responsabilités, que l’on se trouve devant un obstacle qui paraît insurmontable, quand on voit la vie comme un test, on a forcément toujours une chance de gagner.
Si, au contraire, on perçoit chaque nouveau défi comme une lutte à finir, on s’expose à bien des stress inutiles. On ne doit pas attendre pour être heureux que tout aille pour le mieux dans le meilleur des mondes. Les conditions idéales au bonheur n’arrivent que trop rarement.
Faites-en l’expérience en appliquant le principe du banc d’essai à un problème que vous devez surmonter, un patron difficile ou une relation compliquée, par exemple. Et voyez comment vous pouvez revoir la situation, non sous l’angle d’un problème, mais d’un essai. Qu’avez-vous à perdre ? Ainsi, au lieu de vous battre contre ce problème, essayez de voir s’il peut vous enseigner quelque chose.
Demandez-vous : « Pourquoi ce défi dans ma vie ? Que signifie-t-il et que m’en coûtera-t-il de l’affronter ? Est-ce que je pourrais envisager ce problème d’une autre façon ? Est-ce que je peux le voir comme une sorte d’essai ou d’expérience ? »
En optant pour l’essai, vous serez étonné de constater que les solutions ont changé. Si par exemple, vous êtes frustré parce que vous manquez de temps dans une journée et que vous courez pour arriver à tout faire, vous en rejetez le blâme sur votre horaire, vos responsabilités, les circonstances, ou toute autre raison.
En choisissant de voir ce problème comme un bout d’essai, vous pourriez réaliser que pour vous sentir mieux, il n’est pas nécessaire d’organiser votre vie afin d'avoir plus de temps mais plutôt pour arriver à être satisfait de vous, même si vous n’avez pas tout accompli. En d'autres termes, le vrai défi est de voir votre problème comme un bout d’essai.
Au fil des essais et des expériences, vous apprendrez à affronter vos plus grandes frustrations. Et surtout, vous arriverez plus facilement à accepter les choses comme elles sont au lieu de toujours les combattre.
– Dr Richard Carlson |
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Posté le 08/03/2011 à 10:53 |
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L'authenticité en héritage
Les femmes sont des pionnières. Aujourd’hui plus que jamais auparavant, nous avons l’occasion de procéder à d’importants changements dans nos vies. Nous redéfinissons notre rôle à la maison et au travail, nous affrontons les différentes formes que prennent nos dépendances et nous assumons la responsabilité de notre bonheur.
Parmi tous les risques que nous courons, il en est un qui exige un grand courage et qui comporte une part de souffrance : établir des rapports avec nos proches, en particulier nos enfants, qui soient basés sur notre véritable personnalité et non sur les stéréotypes et les clichés dont on nous affuble. En apprenant courageusement à être nous-mêmes et à exprimer notre unicité, nous encourageons nos proches à faire de même.
Chaque risque encouru, chaque souffrance calmée, chaque monstre apprivoisé élargit la voie de la liberté qu’emprunteront les autres et avive notre confiance en nos aptitudes pour mener une existence fondée sur l’authenticité.
À chacun des risques que nous avons le courage d’encourir, nous facilitons la tâche de nos filles, de nos amies et de nos mères qui veulent suivre notre exemple et devenir elles-mêmes. Quel autre héritage pourrions-nous laisser?
Source : Sagesse de Femme, Sue Patton Thoele, 1995, p. 230
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Posté le 09/03/2011 à 11:03 |
| Ne laissez pas ces vétilles troubler votre tranquillité d'esprit ... La vie est trop précieuse pour être sacrifiée au futile et au temporaire Grenville Kleiser |
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Posté le 10/03/2011 à 16:36 |
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Voici deux ebooks qui vous feront débuter la nouvelle année de belle façon.
Le premier : « Ce qu'il faut faire pour vaincre la fatigue ». Écrit par Michèle Levy (site Espace Optimiste), cet ebook de 19 pages propose un programme en 7 étapes. Vous ferez vite le plein d'énergie et de bien-être.
Le deuxième : « Le livre du mieux-être », (12 pages), est écrit par Marcelle della Faille. Présenté sous forme de journal, ces 7 courtes réflexions vous aideront à faire des prises de conscience et à poser des actions concrètes pour améliorer votre vie.
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trouvé sur
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Posté le 11/03/2011 à 11:11 |
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Toutes ces choses vous les avez dites de la beauté,
Mais en vérité vous n'avez pas parlé d'elle mais de désirs insatisfaits,
Et la beauté n'est pas un désir mais une extase.
Elle n'est pas une bouche assoiffée ni une main vide tendue,
Mais plutôt un cœur embrasé et une âme enchantée.
Elle n'est pas l'image que vous voudriez voir ni le chant que vous voudriez entendre,
Mais plutôt une image que vous voyez, bien que vous fermiez les yeux et un chant que vous entendez, bien que vous bouchiez vos oreilles.
Elle n'est pas la sève sous l'écorce ridée, ni une aile attachée à une griffe,
Mais plutôt un jardin toujours en fleurs et une nuée d'anges toujours en vol.
La beauté est la vie lorsque la vie dévoile son saint visage.
Mais vous êtes vie et vous êtes le voile.
La beauté est l'éternité se contemplant dans un miroir.
Mais vous êtes éternité et vous êtes le miroir.
Khalil Gibran
Modifié par simplifier le 11/03/2011 11:12 |
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Posté le 12/03/2011 à 17:02 |
| Si vous avez l'impression que vous êtes trop petit pour pouvoir changer quelque chose, essayez donc de dormir avec un moustique… et vous verrez lequel des deux empêche l'autre de dormir."
Le Dalaï Lama |
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Posté le 12/03/2011 à 18:29 |
Petit astucien
| simplifier a écrit :
Si vous avez l'impression que vous êtes trop petit pour pouvoir changer quelque chose, essayez donc de dormir avec un moustique… et vous verrez lequel des deux empêche l'autre de dormir."
Le Dalaï Lama
Tout cela est relatif à la fois à la juste évalution des choses et des forces en présence... Tu as vu comment finit vite fait bien fait le moustique?
Modifié par glcsm le 12/03/2011 20:02 |
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