Message original par galoupia

14 000 000 de centenaires dont 3 000 000 comptés vivants alors que l'INSEE en compte que 21 000

vidéo https://twitter.com/i/status/1298316916512219137

Bonjour .21 000 en France ! Et dans le monde d'après Futura santé :

"En 2012, il y avait environ 316.000 centenaires dans le monde, un nombre qui pourrait atteindre 3,2 millions en 2050 d'après un organisme émanant de l'ONU " On est loin des chiffres "proposés".

Bonjour,

Heureusement que le covid-19 va passer par là!,et va en éliminer un grand nombre.

Sinon,les systèmes de soins,les mutuelles, les caisses de retraite exploseraient..

salut,

Et puis pal mal se rendront compte que ce n'est pas terrible de vivre centenaire assis sur sa couche

à+

Marie-louise a écrit :

salut,

Et puis pal mal se rendront compte que ce n'est pas terrible de vivre centenaire assis sur sa couche

à+

,

Dis donc, tu es bougrement pessimiste !

salut,

Non pas du tout je n'ai pas parlé de baver dans sa soupe, gober les mouches;.......

Qui dit centenaire, dit octogénaire qui pétait le feu. (comme Jeanne Calment jusqu'à 110 : c'est toujours ça de pris ! De toute façon, on finit toujours mal)

Quand l'espérance de vie s'accroît, celle de vie bonne santé aussi ... (eh oui, on ne peut pas tous partir en pleine bourre ! Sinon, on arrête la médecine en sortant de l'enfance, et on se flingue à 60 balais)

je n'ai pas parlé de baver dans sa soupe, gober les mouches;.......

Bin, pendant la préhistoire, c'était comme ça à ton âge. Tu veux pas plutôt attendre un peu ?

yves.vaissiere a écrit :

Qui dit centenaire, dit octogénaire qui pétait le feu.....................................................................................

Puisse le Grand Manitou t'entendre !

C'est mathématique : si on est en bonne santé plus vieux, on mourra (statistiquement, bon) plus vieux ;

et inversement, si on part tard, bin c'est qu'on est resté d'aplomb plus tard. (statistiquement toujours : y en aura qui vont se trainer de 40 à 80, et d'autres être nettoyés rapidement)

Par contre, ça ne marche qu'au niveau individuel : ce n'est pas parce qu'il y a de plus en plus de centenaires, que TOI (ou moi) tu vas le devenir ou mieux t'en porter !

Tu rames dur

yves.vaissiere a écrit :

Qui dit centenaire, dit octogénaire qui pétait le feu. (comme Jeanne Calment jusqu'à 110 : c'est toujours ça de pris ! De toute façon, on finit toujours mal)

Quand l'espérance de vie s'accroît, celle de vie bonne santé aussi ... (eh oui, on ne peut pas tous partir en pleine bourre !

Bonsoir

La génétique, les habitudes de vie etc... mais aussi la condition.

Jeanne Calment était une riche bourgeoise.

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Pour la spécialiste qui a travaillé sur l'étude, l'Occitanie se caractérise en comparaison de nombreuses autres régions, par de meilleures habitudes alimentaires, une moindre consommation de tabac et d'alcool, une meilleure offre de soins et un environnement plus favorable. «On sait que les habitudes alimentaires dans le nord de la France sont moins bonnes» Concrètement, l'étude démontre qu'à «sexe, âge, niveau de vie, catégorie sociale et diplôme donnés, les personnes résidant en Occitanie ont en moyenne un risque de décès inférieur de 6 % à celui des personnes résidant en Auvergne-Rhône-Alpes, région de référence». L'écart entre l'Occitanie et les Hauts-de-France est même de 20 %.Précisons toutefois qu'une différenciation entre hommes et femmes peut être établie. En effet, si les hommes aisés vivant en Occitanie ont un risque de décès inférieur de 7 % par rapport à ceux vivant en Rhône-Alpes Auvergne, ce risque n'est plus que de 4 % concernant les femmes. Les femmes aisées vivant en Nouvelle Aquitaine, au sein de la région des Pays de la Loire, et en Provence-Alpes-Côte-d'Azur vivent plus longtemps que leurs compatriotes occitanes. (ce qui était la cas de Jeanne Calment qui vivait en Arles)

L'étude révèle que plus on est aisé, plus l'espérance de vie augmente. Chez les hommes, 13 ans séparent les plus modestes des plus riches. Parmi les 5 % les plus aisés, l'espérance de vie à la naissance des hommes est d'environ 84 ans, contre 71 ans parmi les 5 % les plus pauvres. Chez les femmes, cet écart est moindre : les plus riches vivent en moyenne 8 ans de plus que les plus modestes.L'espérance de vie à la naissance des femmes parmi les 5 % de personnes les plus aisées atteint environ 88 ans, contre 80 ans parmi les 5 % les plus modestes.

https://www.ladepeche.fr/article/2018/02/08/2738417-est-occitanie-vit-plus-vieux.html

Jean_Aymard a écrit :
C'est en Occitanie que l'on vit le plus vieux.

Sans pour autant me bercer d'illusion, j'ai donc encore toute raison d'espérer...

JRB a écrit :

Jean_Aymard a écrit :
C'est en Occitanie que l'on vit le plus vieux.

Sans pour autant me bercer d'illusion, j'ai donc encore toute raison d'espérer...

, Et même de bonnes raisons : si les conditions nécessaires d'une hygiène de vie correcte, s'ajoutent à la surveillance d'une bonne santé.Les progrès de la science font le reste. Si on regarde bien, ce sont quasiment toujours les mêmes causes qui handicapent définitivement ou tuent :

(Et tout le monde connait aujourd'hui les comportements quotidiens à adopter pour en réduire radicalement la probabilité : hygiène de vie...)

• AVC,
• cancers,
• maladies cardio-vasculaires,
• maladies neuro-dégénératives.

Ensuite, (mais c'est juste ce que j'ai remarqué, je me trompe peut-être) : tous les centenaires ou nonagénaires bien avancés que j'ai connu dans mon village, vivaient tous intensément l'instant présent, et aucun(e) ne pleurnichait sur les années révolues. Ils(elles) étaient juste "reconnaissants" d'être simplement là, ici.

Mais d'après ce qu'il me semblait avoir compris, en parcourant des revues scientifiques, il y aurait quand même aussi un paramètre génétique ?

Ensuite, (mais c'est juste ce que j'ai remarqué, je me trompe peut-être) : tous les centenaires ou nonagénaires bien avancés que j'ai connu dans mon village, vivaient tous intensément l'instant présent, et aucun(e) ne pleurnichait sur les années révolues. Ils(elles) étaient juste "reconnaissants" d'être simplement là, ici.

je suis d accord avec toi, pleurnicher.. nous tue à petit feu, on ne sait pas apprécier les bonnes choses, on veut toujours PLUS !

Bonjour

C'est en voulant plus en voulant avancer que l'on progresse.

Se contenter de ce que l'on a c'est refuser le progrès. Sans cette envie de progresser, d'avancer nous serions encore des Néandertaliens

Heureusement que les professionnels du secteur santé que ce soit en chirurgie, ou en médecine ne se sont jamais contenté de ce qu'ils savaient.

La cœlioscopie par exemple qui a remplacé, dans la plupart des cas, l'ouverture de l'abdomen est un progrès immense.

Elle permet au patient de sortir beaucoup plus tôt de l'Hôpital et de guérir bien plus vite.

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https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/graphiques-cartes/graphiques-interpretes/esperance-vie-france/

Tu rames dur

En plus mou : l'espérance de vie en bonne santé et l'espérance de vie tout court, sont étroitement et indissociablement corrélées.

Jean_Aymard a écrit :

Au milieu du XVIIIe siècle, la moitié des enfants mouraient avant l’âge de 10 ans et l’espérance de vie ne dépassait pas 25 ans. Elle atteint 30 ans à la fin du siècle, puis fait un bond à 37 ans en 1810 en partie grâce à la vaccination contre la variole. La hausse se poursuit à un rythme lent pendant le XIXe siècle, pour atteindre 45 ans en 1900. Pendant les guerres napoléoniennes et la guerre de 1870, l’espérance de vie décline brutalement et repasse sous les 30 ans.

Au cours du XXe siècle, les progrès sont plus rapides, à l’exception des deux guerres mondiales. Les décès d’enfants deviennent de plus en plus rares : 15% des enfants nés en 1900 meurent avant un an, 5 % de ceux nés en 1950 et 0,4 % (3,5 pour mille exactement) de ceux nés en 2015. La hausse de l’espérance de vie se poursuit grâce aux progrès dans la lutte contre les maladies cardio-vasculaires et les cancers. En 2017, l’espérance de vie en France atteint 79,5 ans pour les hommes et 85,4 ans pour les femmes).

, Les chiffres sont corrects, d'accord, mais il faut aussi se garder de les interpréter n'importe comment, ce que font beaucoup.

1) ce sont des MOYENNES : il s'agit d'espérance de vie Á LA NAISSANCE ( jusqu'à la fin du XIXième, il y avait énormément de décès à la naissance ou en bas âge, par exemple). Il faudrait compléter avec les mêmes espérances de vie à 20 ans, à 30 ans , ...etc. Mais aussi selon les facteurs généraux déterminants (guerres, par exemple) ou plus variables (génétique, mode de vie passée, métiers, lieu d'habitation, ...etc)...et parmi d'autres : progrès de la médecine.

2) Ceci précisé, il est maintenant de notoriété générale, que ce sont au XIXième siècle beaucoup plus les meilleures conditions de vie des populations par rapport à l'hygiène ( destruction des quartiers insalublres et remplacement par des boulevards de type "Haussmann", offensives vaccinales (variole, tuberculose,...), meilleure nourriture, que les progrès proprement dits de la médecine qui ont permis d'augmenter l'espérance de vie à la naissance. (il faudra attendre les guerres mondiales et entre les 2, l'introduction de la pénicilline pour un vrai progrès de la médecine).