Avant dernier au classement mondial.

Eureusement, ont ce ratrape un peu en franssé. 😁

Bonsoir, Super_GEGE,

Oui, mais avec des "premiers de cordée", comme le Député Cédric Villani, médaille Fields en 2010 (en compagnie du Franco-Vietnamien Ngô Bâo Châu). La France occupe la 2ème place internationale, au palmarès.

Oui, certes, il y a problème, sur la base du classement scolaire des petits Français. Les causes doivent être multiples, et elles ne manqueront pas de figurer dans les commentaires à venir.

figurer dans les commentaires à venir

C'est clair, avec des parents "complotistes" (réseaux sociaux & Co) et donc à la base au moins un poil antiscientifiques ...

Faut vite rétablir le Certif et le calcul mental.

Sérieusement, quand j'étais en CE2 dans l'école de mon village, une " grande " du Cours de Fin d'études avait été reçue première du canton, une gloire locale certes mais une gloire méritée et méritoire, probablement grâce à ses facilités en calcul mais aussi en français et autres matières.

Pour revenir au sujet, je me souviens qu'en classe, elle résolvait des calculs complexes aussi vite sinon plus qu'une calculatrice électronique de maintenant.

Yves pourra peut-être nous dire si le calcul mental est encore enseigné dans nos écoles primaires.

Non, ça fait sept ans que je suis à la retraite.

(par contre, que foutait "je me souviens" cette grande dans ta classe ?

Et arrête un peu avec la calculette ... on la compare avec la règle à calcul quand il ne s'agit que de deux décimales, disons.)

Bonjour

J'aimerais bien savoir combien de gamins de CM2 seraient capables de résoudre les problèmes de baignoires qui fuient, de robinets qui coulent, de trains qui se croisent etc ...

que l'on nous donnait à faire à l'époque lointaine où j'usais mes fonds de culotte sur les bancs de mon école, où j'écrivais encore à la plume.

J'ai raté une seconde T à cause de plusieurs mauvais profs dont la prof de maths qui était une cata au point que l'on voulait que je fasse un CAP.

Heureusement, mes parents se sont opposés au conseil de classe et j'ai passé un test qui, par chance c'est très bien déroulé.

Du coup, j'ai redoublé mais en seconde C. Après, plus de problème.

Cependant, ça m'a fait rater la voie que je voulais suivre.

Par chance, cela m'a permis d'avoir une vie plus riche en expériences et ne retraite très jeune à défaut d'une situation aisée.

yves.vaissiere a écrit :

(par contre, que foutait "je me souviens" cette grande dans ta classe ?

Pourtant, je pensais m'être exprimé clairement mais, vu que tu es retraité aussi, je t'accorde une seconde chance.

Pendant que moi j'étais en classe de CE2, elle, la " grande ", était en classe de fin d'études. Capiche?

Pour ta défense, nous étions toutes et tous dans la même salle, la seule de l'unique école du village. Je garde un souvenir ému de ma maîtresse.

Histoire d'en remettre une couche sur le sujet ouvert, vu ce titre ce matin dans La Dépêche :

https://www.ladepeche.fr/2020/12/08/cedric-villani-mathematicien-en-25-ans-les-eleves-ont-perdu-une-annee-de-scolarite-en-mathematiques-9245772.php

JRB a écrit :nous étions toutes et tous dans la même salle, la seule de l'unique école du village. Je garde un souvenir ému de ma maîtresse.

salut,

Tu aurais pu finir comme Macron !!!

Bonjour.

Si au moins les profs étaient plus présents, ça irait !

Mais ils tombent tous malades tous les quatre matins !

Déjà, dans les années soixante, moi, au CET, j'ai vécu cela, mais heureusement, ce n'était pas souvent.

À l'école primaire, pas de souci : mes profs étaient toujours là. Comme j'avais quelques années de retard (indépendant de ma volonté), ils étaient là aussi, pour me les faire rattraper, ce qui fait que même les jours ou il n'y avait pas d'école, j'y avais droit.

Ils bossaient !

La preuve, j'ai eu mon certif !

Mais maintenant...

Comment voulez-vous que les mômes deviennent des as sans apprendre ?

À plus.

Bonjour,

Marie-Louise, hors sujet (à peine), mais pour l'humour .

Pour les raisons du "décrochage" des petits Français, ne pas sous-estimer la "démocratisation" (tous au collège...)*, avec l'hétérogénéité culturelle des "populations", le nombre d'élèves par classe, le manque de formation des enseignants, etc.

* Je ne suis pas sûr (en fait, si!) que la comparaison débouchant sur le classement porte sur des échantillons comparables (totalité des enfants, des enfants scolarisés, de ceux déjà sélectivement triés, etc.) Et tout cela, en fonction des systèmes scolaires en place, très différents d'un pays ou d'un continent à l'autre.

philumax a écrit :

Comment voulez-vous que les mômes deviennent des as sans apprendre ?

, Peut-être que beaucoup (comme ce fut mon cas),

cessent d'être des garnements dissipés qui considèrent les cours comme une pénitence,

le jour où grâce à un enseignant ils s'aperçoivent qu'on peut prendre son pied en apprenant ?

Et oui , tout fout le camp ma bonne dame...

Salut beorc !

Moi, à l'école primaire, je n'avais qu'une seule hantise : je ne voulais pas de punition et pas de retenue.

Pourquoi : j'habitais à la campagne et dès que je rentrais de l'école, je faisais mes devoirs (j'en avais !) et dès que j'avais fini, je filais dehors !

Je ne voulais pas être empêché de sortir. J'étais bien, dehors. Évidemment, si mes vieux avaient besoin de moi, ça ne me dérangeait pas.

Une fois ce truc compris, je savais ou j'allais.

J'ai choppé deux punitions : une, c'était une phrase avec "faire le singe" à copier 100 fois et mon père était contre le papier carbone ! De plus, je n'étais pas coupable. Ça s'est réglé, dehors.

La deuxième, c'était juste avant de passer le certif : il fallait monter à la corde à nœud et je savais pas faire !

Du coup, je suis resté après l'école, pour apprendre. Maintenant, je sais monter à la corde.

C'est les deux seules fois ou je suis resté coincé.

À plus.

Bonjour

Certains commercants ont toujours ete nuls en calcul pour rendre la monnaie !!!

philumax a écrit :

Si au moins les profs étaient plus présents, ça irait !

Mais ils tombent tous malades tous les quatre matins !

Bonjour,

Attention à ne pas généraliser car, en lisant ça et bien que je sois retraité depuis 20 ans, mon sang n'a fait qu'un tour.

Pour enfoncer le clou, je ne devais pas être le seul assidu devant les élèves et j'ose espérer que c'est le cas actuellement pour la majorité des professeurs.

Par ailleurs, tu ne peux décemment pas leur reprocher de tomber malade. Personnellement, quand ça m'arrivait, je t'assure que je ne le faisais pas exprès et pas plus actuellement.

JRB : on ne parle pas de la même génération !

Je l'ai dit : mes profs, étaient rarement absents.

Un prof,a fait un passage chez les fous, mais c'était un cas extrême : un prof de math. Le pauvre, il n'a tout simplement pas réussi, à nous faire le moindre cours, en entier et résultat, pour moi, un campagnard, au milieu de tous ces rats des villes, je me suis retrouvé, ainsi que toute la classe, avec 2,5 de moyenne cette année-là (en math uniquement). Je n'ai rien pu faire contre ça. Le vieux (mon cher Papa) n'était pas content, mais je n'y pouvais rien. Toutefois, je n'ai pas redoublé, mais l'année suivante, la direction a pris des mesures drastiques : une note en dessous de 16, avertissement, trois avertissements, convocation chez le surgé et renvoi !

Cette année-là, on a pu bosser : le prof n'était pas le même. J'ai dépassé les 16 de moyenne, un peu partout. C'était devenu beaucoup plus calme.

Pour les commerçants, des fois j'ai un doute

C'est humain

À plus.

philumax,

Merci pour ta mise au point, j'apprécie.

Bonne soirée et cordialement,

JRB

J'ai raté une seconde T à cause de plusieurs mauvais profs dont la prof de maths qui était une cata au point que l'on voulait que je fasse un CAP.

Heureusement, mes parents se sont opposés au conseil de classe et j'ai passé un test qui, par chance c'est très bien déroulé.

Du coup, j'ai redoublé mais en seconde C. Après, plus de problème.

Cependant, ça m'a fait rater la voie que je voulais suivre.

Par chance, cela m'a permis d'avoir une vie plus riche en expériences et ne retraite très jeune à défaut d'une situation aisée.

philumax a écrit :

JRB : on ne parle pas de la même génération !

Je l'ai dit : mes profs, étaient rarement absents.

Bonjour ,

j'adore ce genre de postulat, "c'était mieux avant" ,"ils venaient travailler" etc .. Désolé , encore en activité et je ne vois pas d'absentéisme généralisé.

Et je n'ai pas dit non plus qu'il n'y avait pas d'absence pour maladie.

Quant au niveau atteint, chacun y va de sa référence personnelle (heureusement maintenant les baignoires ne fuient plus : il y a des douches , et les trains ne se croisent plus : ils sont à l'arrêt )

Déjà quand j'étais élève on (et pas ont ) nous disait que le niveau baissait. On peut donc se demander quand la baisse a commencé (et donc à quelle époque on était au sommet)

Si dans 200 ans le forum existe encore , on pourra sans doute ressortir les posts et faire des copier coller. Sauf évidemment si la courbe s'est inversée , que les élèves sont soudain redevenus à la hauteur grâce à des profs compétents et non absentéistes!

Bon WE

Bonsoir Mesdames, bonsoir messieurs

Une petite réflexion...

Salut,

philumax a écrit :

Si au moins les profs étaient plus présents, ça irait ! Mais ils tombent tous malades tous les quatre matins !

J'effectue ma dernière année en ce moment. Je dois accumuler au maximum 20 jours d'arrêt de travail sur toute ma carrière, fracture de la clavicule comprise. La plupart de mes collègues sont dans mon cas. L'absentéisme est l'apanage de quelques cas particuliers, comme on le voit dans toutes les professions.

À l'école primaire, pas de souci : mes profs étaient toujours là. Comme j'avais quelques années de retard (indépendant de ma volonté), ils étaient là aussi, pour me les faire rattraper, ce qui fait que même les jours ou il n'y avait pas d'école, j'y avais droit.

Un simple constat : lorsque j'étais gamin, les profs étaient des notables qui habitaient les beaux quartiers. Quand j'ai débuté, nous étions considérés comme des cadres dont le savoir était reconnu et respecté. J'ai pu devenir propriétaire d'une maison très convenable. Aujourd'hui, les jeunes enseignants sont devenus des "animateurs", qui vivent en location dans des F3, et dont le rôle essentiel est d'occuper les gamins pour que les parents puissent accomplir leur télétravail si essentiel pour la prospérité de la nation. Les salaires, la considération, les conditions de travail ont suivi cette évolution. Bref, les gamins ont les enseignants que l'état estime suffisant pour qu'ils deviennent des manœuvres incultes et obéissants.

Si les enfants de profs ne deviennent plus profs, contrairement à ce qu'il se passait il y a encore 20 ans, ce n'est pas un hasard. On a le système éducatif qu'on mérite.

Yves Vaissiere

Il faut tester l'hypothèse, par exemple,

H0:" il n'y a pas de différence significative entre les pourcentages de réussite de ces trois échantillons d'étudiants".

Et il faut tenir compte de l'hypothèse alternative:

H1: "l'un au moins des taux de réussite est significativement différent des autres"

Le taux de réussite global à cet examen nous est inconnu et il faut donc l'estimer.

Aller, je vais laisser les pros répondre... ça sent le Khi deux...

Ikewdu_ a écrit :

Un simple constat : lorsque j'étais gamin, les profs étaient des notables qui habitaient les beaux quartiers. Quand j'ai débuté, nous étions considérés comme des cadres dont le savoir était reconnu et respecté. J'ai pu devenir propriétaire d'une maison très convenable. Aujourd'hui, les jeunes enseignants sont devenus des "animateurs", qui vivent en location dans des F3, et dont le rôle essentiel est d'occuper les gamins pour que les parents puissent accomplir leur télétravail si essentiel pour la prospérité de la nation. Les salaires, la considération, les conditions de travail ont suivi cette évolution. Bref, les gamins ont les enseignants que l'état estime suffisant pour qu'ils deviennent des manœuvres incultes et obéissants.

Bonjour

Tu as mille fois raison.

gr42 a écrit :
Quant au niveau atteint, chacun y va de sa référence personnelle (heureusement maintenant les baignoires ne fuient plus : il y a des douches , et les trains ne se croisent plus : ils sont à l'arrêt )

Déjà quand j'étais élève ont nous disait que le niveau baissait. On peut donc se demander quand la baisse a commencé (et donc à quelle époque on était au sommet)

Si dans 200 ans le forum existe encore , on pourra sans doute ressortir les posts et faire des copier coller. Sauf évidemment si la courbe s'est inversée , que les élèves sont soudain redevenus à la hauteur grâce à des profs compétents et non absentéistes!

Bonjour

Moi quand j'étais élève les instits et les profs ne faisaient pas de faute d'orthographe, elles étaient réservées aux élèves (comme moi)

Bonne journée