Pour votre information : http://www2.ac-rennes.fr/cst/bret/ventsmarees/vents/accueil.htm Noms de vents soufflant en France [img]http://img75.echo.cx/img75/8762/1fond9qu.gif[/img] alizé : vent de nord-est, dans le sud de la France aquilon : vent du nord, froid et violent auvergnasse : vent du sud-ouest, annonçant la neige dans le Massif Central birran : vent du sud sud-est, près du Lac Léman bise : vent du nord, froid et sec accompagné de gros nuages et de basses pressions dans le Languedoc cers : vent du nord-ouest, très sec dans le Bas-Languedoc chamoisine : vent du sud sud-ouest, près du Lac Léman foehn : vent du sud, dans la région du Mont-Blanc galerna : vent du nord-ouest, froid à rafales dans le Golfe de Gascogne iseran : vent du nord, froid à rafales dans les Alpes marin : vent du sud, tiède, accompagné de pluies, sur les côtes du golfe du Lion mistral : vent du nord, dans la vallée du Rhône et sur la Méditerranée sirocco : vent de sud-est, extrêmement chaud et sec, d'origine saharienne, dans le sud de la France tramontane : vent du nord-ouest, froid, sur le Languedoc et le Roussillon Bonne journée.

Modifié par JL2 le 29/06/2005 04:51

Bonjour Il en manque un qui est le "vent d'autant" ce vent souffle parfois trÚs fort dans la rÚgion Toulousaine et peut durer plusieurs jours

Un vent de chez moi : La burle : vent violent du N-O, qui ramÞne des neiges froides sur le plateau archÚchois, entra¯ne la formation de congÞres et facilite le ski nordique dans le MÚzenc (limite ArdÞche/Haute-Loire).

Modifié par Alviss le 29/06/2005 10:15

Bonjour, Il y a Úgalement un vent non rÚpertoriÚ, qui sÚvit dans toute la France : c'es le vent d'anus. En gÚnÚral assez discret, surtout aprÚs des repas Ó base de haricots ou autres fÚculents. [clindoeil][clindoeil] A+

slt quant Ó l'alizÚ vent de nord est dans le sud de la france [choc] faut vraiment etre un universitaire breton pour ecrire þa !! ou alors on considere la martinique comme le sud de la france voila la definition sur le site de meteo france alizÚ Un alizÚ est un vent des rÚgions intertropicales (entre 30? nord et 30? sud environ), de direction gÚnÚrale nord-est pour l'hÚmisphÞre Nord et sud-est pour l'hÚmisphÞre Sud, qui se manifeste de faþon persistante Ó des altitudes allant ordinairement du niveau de la mer Ó 1 500 ou 2 000 mÞtres, sans dÚpasser 3 000 mÞtres. Le terme d'"alizÚ" est gÚnÚralement employÚ au pluriel afin de dÚsigner l'ensemble des vents de ce type ; ceux-ci soufflent sur de vastes rÚgions de la zone mÚridienne intertropicale en partant des grands centres d'action anticycloniques des rÚgions subtropicales pour se diriger vers la zone de convergence intertropicale, qui forme une ceinture dÚpressionnaire entourant la planÞte. De ce fait, la circulation gÚnÚrale des vents Ó basse altitude est principalement gouvernÚe par des vents d'est dans les rÚgions tropicales et Úquatoriales, Ó l'inverse des rÚgions tempÚrÚes o¨ elle se traduit globalement par des vents d'ouest. Les alizÚs, alimentÚs par l' air des subsidences qu'entretiennent les anticyclones subtropicaux, sont au dÚpart des vents secs ; c'est pourquoi les alizÚs continentaux , qui traversent des terres ÚmergÚes et frÚquemment arides, diffÞrent par leur nature des alizÚs ocÚaniques , qui soufflent longuement au-dessus de surfaces d'eau Ó tempÚrature ÚlevÚe et peuvent ainsi se rÚgÚnÚrer en vapeur d'eau. Plus prÚcisÚment, les alizÚs continentaux, lorsqu'ils soufflent au-dessus de rÚgions dÚsertiques ou semi-dÚsertiques, ne peuvent qu'entretenir l'ariditÚ de ces rÚgions : tel est le cas de l' harmattan , qui, en ÚtÚ, contourne la dÚpression thermique du Sahara, et qui en toute saison assÞche les abords de l'Ouest de l'Afrique ; les alizÚs ocÚaniques, au contraire, recueillent l'eau ÚchappÚe de la surface des mers par Úvaporation et pourront jouer ainsi un r¶le fondamental dans le soulÞvement Ó trÞs haute altitude de l'air Úquatorial par convection humide aprÞs qu'ils auront atteint la zone de convergence intertropicale. En raison du frottement exercÚ par la surface de la mer, les alizÚs ocÚaniques se caractÚrisent par une vitesse modÚrÚe et peu variable (de l'ordre de 20 km/h ou 5 mÞtres par seconde) qui, ajoutÚe Ó leur persistance, permet de comprendre le concours qu'ils ont apportÚ aux dÚcouvertes de la navigation maritime Ó la Renaissance ; rappelons toutefois qu'Ó un phÚnomÞne climatique tel qu' El Ni±o correspond une quasi-disparition des alizÚs dans la partie occidentale du Pacifique Úquatorial, tandis que La Ni±a s'accompagne au contraire de leur renforcement dans cette mÛme zone du Pacifique. D'autre part, l'air humidifiÚ que transportent les alizÚs ocÚaniques est surplombÚ par un air chaud et trÞs sec, issu par subsidence des rÚgions de l' atmosphÞre o¨ circulent en sens inverse des alizÚs certains courants ù les contre-alizÚs ù constituant la partie supÚrieure des cellules de Hadley : entre ces deux rÚgions contiguÙs de l'atmosphÞre tropicale s'Útablit alors une couche d'inversion de tempÚrature, siÞge du renversement de sens des flux d'air , et qui a la propriÚtÚ d'Ûtre quasi permanente.

Modifié par gologolo le 29/06/2005 13:43